Vous êtes auditeur interne senior, responsable audit interne ou directeur de l’audit interne ?
- souhaitez-vous maîtriser la méthodologie de conduite des missions d’audit interne ?
- souhaitez-vous Réaliser des audits de qualité, pertinents et utiles pour votre organisation ?
- Souhaitez – vous faire évoluer votre profil vers plus de responsabilités au sein de la Direction de l’audit ?
L’audit interne est une fonction essentielle pour le bon fonctionnement et la performance de toute organisation. Il permet d’évaluer et d’améliorer le système de management des risques, le contrôle interne et la gouvernance.
Mais pour cela, il faut respecter les normes du CRIPP, les bonnes pratiques de l’audit interne, et maîtriser la méthodologie de conduite des missions d’audit interne. Vous avez peut-être déjà rencontré des difficultés pour :
- Identifier et évaluer les risques liés à votre périmètre d’audit
- Définir les objectifs et le plan de l’audit
- Collecter et analyser les données pertinentes
- Elaborer le programme de travail
- Rédiger et présenter les rapports d’audit
- Formuler des recommandations efficaces et suivre leur mise en œuvre
- Faire face à des situations complexes ou conflictuelles lors des missions d’audit
Vous aimeriez donc vous former ou vous perfectionner à la méthodologie de conduite des missions d’audit interne, mais vous manquez de temps ou de ressources pratiques. Vous avez du mal à trouver des sources fiables et actualisées sur le sujet. Vous avez peu de retours d’expérience ou de partage de bonnes pratiques entre pairs.
Notre solution vous permettra de vous former à la méthodologie de conduite des missions d’audit interne, en ligne et à votre rythme, avec les meilleurs experts du domaine ? Une solution qui vous permettra de :
- Maîtriser la méthodologie de conduite des missions d’audit interne, étape par étape
- Elaborer un programme de travail pertinent et des recommandations efficaces
- Développer vos compétences et votre carrière
Pour répondre à ces questions, nous avons élaboré la formation sur la méthodologie de conduite des missions. Ci-dessous le sommaire de la page.
- Informations de base
- Packs tarifaires de la formation l manuels – vidéos – formations
- Programme de formation
- Objectifs de la formation
- Bonus de la formation
- Nos logiciels automatisés
- Galerie image
- Questions / réponses
A. INFORMATIONS DE BASE
• Mobile / WhatsApp : (+225) 05 44 13 07 98
• Email : ohada@formation-comptabilite-audit.com I ohada.finance@gmail.com
• Plaquette de nos logiciels automatisés en audit : LIEN
• Plaquette des formations et d’examen CIA : LIEN
• Base des vidéos démo des logiciels E-AUDIT : LIEN
• Inscrivez-vous dans la communauté E-AUDIT pour recevoir chaque semaine un guide en audit : LIEN
• Le groupe WhatsApp des participants (UNIQUEMENT) aux webinaires. Contacter l’admin pour la tarification : LIEN
• Témoignages client : LIEN
B. PACKS TARIFAIRE
Manuels de formation = Manuels du formateur [3 fichiers – 200 pages] + guide méthodologique détaillé par étape de conduite d’une mission d’audit interne + 1 rapport pratique d’audit interne + guide de description des cycles audit + le CRIPP (Cadre de Référence International des Pratiques Professionnelles de l‘audit interne) + charte d’audit interne
Bases pratiques = (8) programmes de travail d’audit interne par cycle [600 contrôles – budget – achats – ventes – caisse – banque – immobilisations – stocks – juridique]
- Pack A – manuels ( 50 000 FCFA – 80 euros ) : Manuels de formation
- Pack E – manuels pratiques ( 100 000 FCFA – 160 euros ) : Manuels de formation + Bases pratiques
- Pack B – vidéos ( 100 000 FCFA – 160 euros) : vidéo de formation (4 H) + Manuels de formation
- PACK C – formation particulier (200 000 FCFA – 360 euros) : Formation individuelle + 8 H de formation en ligne selon emploi du temps + manuels de formation + vidéo de formation + Bases pratiques
- PACK D – Formation entreprise : Formation + manuels de formation + vidéo de formation + Bases pratiques – Industries et services (350 000 FCFA – 534 euros)
C. PROGRAMME DE FORMATION
Programme détaillé
AXE 1 : LA MÉTHODOLOGIE
1. Cartographie des risques
2. Plan pluri-annuel d’audit interne
3. Planification de la mission
4. Lettre de mission
5.1 Rencontre avec la Direction de l’entité auditée
5.2 Compte rendu de la réunion
5.3 Réunion d’ouverture
6. Collecte documentaire (prise de connaissance du Domaine audité )
7. Plan d’approche – référentiel de contrôle interne
8. Questionnaire de contrôle interne
9. Tableau des forces et faiblesses apparentes
10. Le rapport d’orientation
11. Le programme de travail
12. Le questionnaire de contrôle interne du programme de travail (Q.C.I)
13. La phase de terrain-test (feuille de couverture)
14. LA FRAP = Feuille de Révélation et d’Analyse de Problème
15. La synthèse des FRAP
16. Le rapport provisoire
17. La réunion de clôture
18. Le rapport final
AXE 2 : LES FONDAMENTAUX
1. Charte d’audit interne
2. Plan annuel d’audit interne
3. Manuel technique d’audit interne
4. Normes de la fonction de la IIA
D. TEMOIGNAGES CLIENTS
E. NOS LOGICIELS EN AUDIT, RISQUES ET CONTROLE
- E-audit pro – automatiser les missions et les rapports d’audit interne
- E- CIA exam – logiciel de préparation à l’examen CIA
- E-cartographie – élaboration automatisée de la cartographie des risques
- E-contrôle interne – automatiser les missions de surveillance permanente ou de contrôle interne
- E-audit plan manager – élaboration automatisée du plan annuel d’audit interne
- Audirex – logiciel de formation à la révision des comptes
- E – audit révision – logiciel automatisé d’audit et révision des comptes
F. GALERIE IMAGE
G. QUESTION / REPONSES
- Quel est le rôle d’un auditeur interne ?
Le rôle de l’auditeur interne consiste à vérifier l’exactitude des informations, organisationnelles ou financières, fournies aux dirigeants de l’entreprise. Grâce à l’audit, ils pourront définir de nouveaux objectifs ou adopter de nouvelles méthodes de travail.
3. Quels sont les objectifs d’un audit interne ?
L’audit interne, tel que défini par l’institute of internal auditors (IIA), « est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée ». L’audit interne doit être réalisé par un auditeur indépendant. Il doit effectuer son travail avec objectivité. Pour ce faire, il doit avoir une attitude impartiale et dépourvue de préjugés. Il se doit d’éviter les conflits d’intérêts pour fonder ses constats sur des faits vérifiables et documentés.
- · Phase de préparation.
- · Phase de réalisation.
- · Phase de conclusion
5. Quel diplôme pour faire de l’audit ?
6. Quel est le rôle d’un auditeur ?
Procéder à des travaux de vérification et d’analyse sur des entités, de sa filiale, des procédures ou des filières, faire un constat sur leur fonctionnement, Evaluer les risques et le dispositif, apprécier l’organisation en place, porter un jugement sur les responsables et préconiser des mesures d’amélioration.
7. Qu’est-ce que l’audit interne ?
Au quotidien, vous interrogez les collaborateurs, vous analysez des données avec des méthodes innovantes, vous contrôlez l’application des procédures. Vous êtes la « troisième ligne de défense » du groupe. Vous évaluez le fonctionnement et les pratiques de tous les métiers : banque de détail, banque d’investissement, finances, juridique, IT et digital, etc. L’audit interne réalise plus de 1 000 missions par an. Votre challenge : braquer les projecteurs sur les « zones de risques » et préconiser des actions correctrices.
8. Quelles sont les missions de l’auditeur interne ?
- Assurer l’efficacité du dispositif de contrôle interne.
- Participer à l’élaboration de diagnostics, rédiger des rapports d’audit.
- Faire des recommandations et suivre leur mise en œuvre.
- Faire le contrôle interne et gestion des risques. …
- Effectuer la vérification de la conformité réglementaire et légale des dispositifs mis en place. …
- Donner des conseils pour résoudre les problèmes identifiés.
9. Quelles sont les compétences d’un bon auditeur ?
Audit et soft-skills : les compétences personnelles
- Analyse et esprit critique. Dans son travail quotidien, l’auditeur passe constamment d’un dossier à l’autre et travaille avec des échéanciers serrés. …
- Communication.
- Des solides bases comptables.
- Une maîtrise des nouvelles technologies.
- Impartialité, déontologie et éthique.
10. Comment mener un entretien d’audit ?
L’entretien commence donc généralement par une présentation de l’audit et de l’auditeur. La présentation de l’audit doit situer au minimum la raison pour laquelle l’audit a été demandé et l’objectif qui est fixé. Il n’est pas nécessaire de réciter toute la lettre de missio
11. Quelle est la différence entre l’audit interne et l’audit externe ?
L’audit interne est réalisé par quelqu’un qui travaille au sein de l’entreprise. Sa mission : vérifier le bon respect des procédures. L’audit interne est parfois appelé « audit de première partie ». L’audit externe est un examen indépendant et formel de la situation financière d’une entreprise.
12. Pourquoi on effectue une mission d’audit ?
Grâce à son jugement et son expertise, l’auditeur évalue les risques que les états financiers comportent des erreurs et cible les procédures adéquates pour s’assurer de minimiser ces risques d’erreurs. Parmi ces procédures, l’auditeur doit prendre en considération les contrôles internes mis en place dans l’entreprise.
13. Quelle est la fiche de poste d’un auditeur ?
ACTIVITES
- Définir un plan d’audit annuel en prenant en compte les exigences réglementaires, le suivi des recommandations, la cartographie des risques et les demandes des organes exécutifs et délibérants
- Contrôler l’efficacité du dispositif de contrôle interne et de gestion des risques de la banque
- Réaliser des contrôles périodiques sur place et sur pièces afin d’évaluer la sincérité des documents et des procédures mises en place
- Mesurer la fiabilité et l’intégrité des informations financières communiquées
- Apprécier le respect des réglementations et lois en vigueur de la part des collaborateurs de la banque
- Assurer le suivi de la mise en œuvre effective des recommandations validées
ENVIRONNEMENT
Au sein du contrôle périodique, les fonctions d’Inspection générale et de l’Audit interne cohabitent.
En fonction de l’organisation et de la structure de la banque, le métier d’auditeur interne peut impliquer de nombreux déplacements, que ce soit en province ou à l’étranger
PROFIL
Formation initiale souhaitée :
- Formation en Audit et contrôle de gestion / Finance, droit et comptabilité / Gestion des risques, sécurité financière et conformité de niveau /Sciences du Management spécialité Qualité et Contrôle Interne Bac +5 (Université, Ecole d’ingénieurs, École de commerce option finance et comptabilité, …)
- Diplôme professionnel d’audit interne (DPAI) / Certification professionnelle d’auditeur interne (CPAI)
Compétences attendues :
- Connaissance des métiers / produits / services
- Maîtrise des techniques d’audit
- Vision transversale métier
- Maîtrise des systèmes d’information
- Réactivité et adaptation
- Rigueur
- Capacité à travailler en équipe
- Qualité relationnelle (qualité d’écoute, de communication interne / externe, etc.)
- Capacité de structuration et de restitution de l’information et d’analyse (esprit de synthèse)
- Qualité de coordination et d’organisation
- Force de conviction / proposition
- Esprit de curiosité
- Anglais courant, en particulier dans les Groupes bancaires internationaux
- Logiciels de gestion de l’entreprise
Compétences Techniques
- Savoir analyser les risques administratifs, comptables,
- Maîtriser les techniques administratives, comptables,
- Savoir faire des analyses et des synthèses,
- Maîtriser les principes de base de l’audit interne et de la gestion des risques (Normes de l’IIA…)
- Etre apte à mener des entretiens,
- Avoir des qualités de rédaction,
- Savoir communiquer oralement et par écrit
Q1. Comment conduire une mission d’audit interne efficace ? Quelles sont les bonnes pratiques à suivre et les erreurs à éviter ?
R1. Pour conduire une mission d’audit interne efficace, il faut suivre les étapes suivantes : la définition du périmètre et des objectifs de la mission, la planification des travaux et des ressources, la réalisation des tests et des entretiens, l’analyse des résultats et l’identification des écarts, la rédaction du rapport et des recommandations, la restitution aux audités et aux destinataires du rapport, le suivi de la mise en œuvre des recommandations. Parmi les bonnes pratiques à suivre, on peut citer : la prise en compte du contexte et des risques de l’entité auditée, la concertation avec les audités et les autres parties prenantes, le respect des normes et de la déontologie de l’audit interne, la documentation et la traçabilité des travaux, la communication claire et constructive des constats et des recommandations. Parmi les erreurs à éviter, on peut citer : le manque de préparation et de planification de la mission, le non-respect du cahier des charges et du calendrier, la réalisation de tests non pertinents ou insuffisants, l’interprétation biaisée ou erronée des résultats, la rédaction d’un rapport trop long ou trop vague, la remise en cause de la crédibilité ou de l’autorité des audités, le non-suivi des recommandations.
Q2. Quelles sont les étapes clés de la conduite d’une mission d’audit interne ? Comment les planifier et les réaliser ?
R2. Les étapes clés de la conduite d’une mission d’audit interne sont :
- La définition du périmètre et des objectifs de la mission : il s’agit de préciser le champ d’investigation, les critères d’évaluation, les livrables attendus et les destinataires du rapport.
- La planification des travaux et des ressources : il s’agit de déterminer le calendrier, le budget, l’équipe et les moyens nécessaires pour réaliser la mission.
- La réalisation des tests et des entretiens : il s’agit de collecter et d’analyser les données relatives au processus ou à l’activité auditée, en utilisant des outils et des techniques appropriés (questionnaires, sondages, observations, etc.).
- L’analyse des résultats et l’identification des écarts : il s’agit de comparer les données collectées aux critères d’évaluation définis préalablement, et de mettre en évidence les points forts et les points faibles du processus ou de l’activité auditée.
- La rédaction du rapport et des recommandations : il s’agit de synthétiser les constats issus de l’analyse, d’en tirer les conclusions et les enseignements, et de proposer des actions correctives ou préventives pour améliorer le processus ou l’activité auditée.
- La restitution aux audités et aux destinataires du rapport : il s’agit de présenter le rapport aux personnes concernées par la mission (audités, management, comité d’audit, etc.), en expliquant la méthodologie utilisée, les résultats obtenus et les recommandations formulées.
- Le suivi de la mise en œuvre des recommandations : il s’agit de vérifier que les actions proposées ont été effectivement réalisées par les audités dans les délais impartis, et que leur impact a été mesuré.
Q3. Quelle est la méthodologie de la conduite des missions d’audit interne selon le CRIPP ? Quels sont ses avantages et ses limites ?
R3. Le CRIPP (Cadre de Référence International des Pratiques Professionnelles de l’audit interne) est un ensemble de normes et de principes édictés par l’IIA (Institut International des Auditeurs Internes) pour guider la pratique de l’audit interne. La méthodologie de la conduite des missions d’audit interne selon le CRIPP repose sur les étapes décrites à la question précédente, en respectant les normes de performance et de déontologie du CRIPP. Les avantages de cette méthodologie sont :
- Elle assure une qualité et une cohérence des missions d’audit interne, en se basant sur des critères reconnus et partagés par la profession.
- Elle renforce la crédibilité et la légitimité de l’audit interne auprès des parties prenantes internes et externes, en démontrant son indépendance, son objectivité et sa compétence.
- Elle favorise l’amélioration continue de l’audit interne, en intégrant les bonnes pratiques et les retours d’expérience.
Les limites de cette méthodologie sont :
- Elle peut être perçue comme trop rigide ou trop normative, en ne laissant pas assez de place à l’adaptation au contexte ou à l’innovation.
- Elle peut être difficile à appliquer dans certains cas, en raison de contraintes de temps, de ressources ou d’accès à l’information.
- Elle peut être mal comprise ou mal appliquée par certains auditeurs internes, en raison d’un manque de formation ou d’accompagnement.
Q4. Quels sont les outils et techniques de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les choisir et les utiliser ?
R4. Les outils et techniques de la conduite des missions d’audit interne sont des moyens utilisés par les auditeurs internes pour collecter, analyser et présenter les données relatives au processus ou à l’activité auditée. Il existe une grande variété d’outils et de techniques, qui peuvent être classés en trois catégories :
- Les outils et techniques documentaires : ils permettent de consulter et d’exploiter les documents existants (procédures, rapports, comptes rendus, etc.), tels que la revue documentaire, le benchmarking ou le questionnaire.
- Les outils et techniques observationnels : ils permettent d’observer directement le fonctionnement du processus ou de l’activité auditée, tels que l’observation participante, le sondage ou le test.
- Les outils et techniques relationnels : ils permettent d’échanger avec les acteurs du processus ou de l’activité auditée, tels que l’entretien, le focus group ou le brainstorming.
Pour choisir et utiliser ces outils et techniques, il faut tenir compte des critères suivants :
- La pertinence : il faut que l’outil ou la technique soit adapté au périmètre et aux objectifs de la mission, ainsi qu’à la nature et à la fiabilité des données à collecter ou à analyser.
- La complémentarité : il faut que l’outil ou la technique apporte une valeur ajoutée par rapport aux autres outils ou techniques utilisés, en évitant les redondances ou les contradictions.
- La faisabilité : il faut que l’outil ou la technique soit réalisable dans les conditions données, en tenant compte des contraintes de temps, de ressources ou d’accès à l’information.
Q6. Quels sont les défis et les risques de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les anticiper et les gérer ?
R6. Les défis et les risques de la conduite des missions d’audit interne sont des difficultés ou des menaces qui peuvent compromettre la qualité ou l’efficacité des missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de défis et de risques, tels que :
- Les défis et les risques liés au contexte : ils sont liés à l’environnement interne ou externe de l’entité auditée, qui peut être complexe, instable ou incertain, tels que les changements organisationnels, réglementaires ou technologiques.
- Les défis et les risques liés au processus : ils sont liés au déroulement de la mission d’audit interne, qui peut être perturbé ou entravé par des imprévus ou des obstacles, tels que les retards, les refus de coopération ou les conflits d’intérêts.
- Les défis et les risques liés aux résultats : ils sont liés aux constats et aux recommandations issus de la mission d’audit interne, qui peuvent être contestés ou ignorés par les audités ou les destinataires du rapport, tels que les désaccords, les résistances au changement ou les effets pervers.
Pour anticiper et gérer ces défis et ces risques, il faut adopter les mesures suivantes :
- La veille : il s’agit de se tenir informé des évolutions du contexte et des risques de l’entité auditée, en utilisant des sources fiables et diversifiées (rapports, études, médias, etc.).
- La prévention : il s’agit de prévoir et de réduire les sources potentielles de difficultés ou de menaces, en adaptant la méthodologie et les outils de la mission d’audit interne aux spécificités du cas étudié.
- La résolution : il s’agit de faire face et de surmonter les difficultés ou les menaces rencontrées, en utilisant des techniques appropriées (négociation, médiation, arbitrage, etc.).
- La capitalisation : il s’agit de tirer les leçons et les enseignements des difficultés ou des menaces vécues, en documentant et en partageant les expériences et les solutions trouvées.
Q7. Quelles sont les compétences requises pour la conduite des missions d’audit interne ? Comment les acquérir et les développer ?
R7. Les compétences requises pour la conduite des missions d’audit interne sont des aptitudes ou des savoir-faire nécessaires pour réaliser efficacement et professionnellement les missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de compétences, tels que :
- Les compétences techniques : elles concernent la maîtrise des outils et des techniques de l’audit interne, ainsi que la connaissance du domaine audité (métier, processus, réglementation, etc.).
- Les compétences relationnelles : elles concernent la capacité à communiquer et à interagir avec les différents acteurs impliqués dans la mission d’audit interne (audités, management, comité d’audit, etc.).
- Les compétences comportementales : elles concernent l’attitude et le comportement adoptés lors de la mission d’audit interne (indépendance, objectivité,
Q8. Quels sont les bénéfices de la conduite des missions d’audit interne pour l’organisation ? Comment les mesurer et les communiquer ?
R8. Les bénéfices de la conduite des missions d’audit interne pour l’organisation sont des apports ou des valeurs ajoutées qui résultent des missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de bénéfices, tels que :
- Les bénéfices en termes de maîtrise des risques : ils concernent la réduction ou la prévention des risques liés au processus ou à l’activité auditée, grâce aux recommandations formulées et mises en œuvre par les audités.
- Les bénéfices en termes d’amélioration de la performance : ils concernent l’optimisation ou l’innovation du processus ou de l’activité auditée, grâce aux recommandations formulées et mises en œuvre par les audités.
- Les bénéfices en termes de renforcement de la confiance : ils concernent l’accroissement ou la consolidation de la confiance entre les parties prenantes internes et externes de l’organisation, grâce à la crédibilité et à la légitimité de l’audit interne.
Pour mesurer et communiquer ces bénéfices, il faut adopter les démarches suivantes :
- La mesure : il s’agit de quantifier ou de qualifier les bénéfices obtenus suite aux missions d’audit interne, en utilisant des indicateurs pertinents et fiables (taux de mise en œuvre des recommandations, économies réalisées, satisfaction des audités, etc.).
- La communication : il s’agit de diffuser ou de valoriser les bénéfices obtenus suite aux missions d’audit interne, en utilisant des supports adaptés et attractifs (rapports, tableaux de bord, témoignages, etc.).
Q9. Quelles sont les normes et les référentiels de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les respecter et les appliquer ?
R9. Les normes et les référentiels de la conduite des missions d’audit interne sont des règles ou des cadres qui définissent les principes et les exigences de la pratique de l’audit interne. Il existe plusieurs types de normes et de référentiels, tels que :
- Les normes internationales : elles sont édictées par l’IIA (Institut International des Auditeurs Internes) et regroupent le CRIPP (Cadre de Référence International des Pratiques Professionnelles) et le Code de Déontologie.
- Les normes nationales : elles sont édictées par les associations ou les organismes professionnels locaux (IFACI en France, IIA UK en Grande-Bretagne, etc.) et complètent ou adaptent les normes internationales au contexte national.
- Les normes sectorielles : elles sont édictées par les autorités ou les régulateurs spécifiques à chaque secteur d’activité (banque, assurance, santé, etc.) et imposent des obligations ou des contraintes particulières aux auditeurs internes.
- Les normes internes : elles sont édictées par l’organisation elle-même et définissent le cadre et les modalités propres à son audit interne (charte d’audit interne, manuel d’audit interne, etc.).
Pour respecter et appliquer ces normes et ces référentiels, il faut adopter les comportements suivants :
- La connaissance : il s’agit de se familiariser avec le contenu et la portée des normes et des référentiels applicables à la conduite des missions d’audit interne.
- Le respect : il s’agit de se conformer aux normes et aux référentiels applicables à la conduite des missions d’audit interne, en évitant toute dérogation ou transgression.
- L’évaluation : il s’agit de vérifier le respect et l’application des normes et des référentiels applicables à la conduite des missions d’audit interne, en utilisant des procédures
Q11. Quels sont les facteurs clés de succès de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les renforcer et les valoriser ?
R11. Les facteurs clés de succès de la conduite des missions d’audit interne sont des éléments qui favorisent ou facilitent la réalisation des missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de facteurs clés de succès, tels que :
- Les facteurs liés à l’organisation : ils concernent le cadre et les conditions dans lesquels s’exerce l’audit interne, tels que la charte d’audit interne, le plan annuel d’audit interne, le budget et les ressources alloués à l’audit interne, etc.
- Les facteurs liés à l’équipe : ils concernent la composition et le fonctionnement de l’équipe d’audit interne, tels que la compétence, la motivation, la cohésion, la diversité, etc.
- Les facteurs liés à la mission : ils concernent le déroulement et les résultats de la mission d’audit interne, tels que la pertinence, la qualité, l’efficacité, l’utilité, etc.
Pour renforcer et valoriser ces facteurs clés de succès, il faut adopter les actions suivantes :
- L’alignement : il s’agit de faire en sorte que les objectifs et les attentes de l’audit interne soient en adéquation avec ceux de l’organisation et de ses parties prenantes.
- Le pilotage : il s’agit de suivre et d’évaluer régulièrement la performance et la satisfaction de l’audit interne, en utilisant des indicateurs pertinents et fiables.
- La reconnaissance : il s’agit de valoriser et de récompenser les efforts et les réussites de l’audit interne, en utilisant des moyens adaptés et attractifs.
Q12. Quelles sont les erreurs à éviter dans la conduite des missions d’audit interne ? Comment les détecter et les corriger ?
R12. Les erreurs à éviter dans la conduite des missions d’audit interne sont des fautes ou des dysfonctionnements qui nuisent à la qualité ou à l’efficacité des missions d’audit interne. Il existe plusieurs types d’erreurs, tels que :
- Les erreurs liées à la préparation : elles concernent le manque ou l’excès de planification ou de documentation de la mission d’audit interne, tels que le périmètre trop large ou trop restreint, les objectifs trop ambitieux ou trop flous, le cahier des charges incomplet ou imprécis, etc.
- Les erreurs liées à la réalisation : elles concernent le manque ou l’excès de tests ou d’entretiens lors de la mission d’audit interne, tels que les tests non pertinents ou insuffisants, les entretiens biaisés ou mal conduits, les données erronées ou incomplètes, etc.
- Les erreurs liées à la restitution : elles concernent le manque ou l’excès de synthèse ou de recommandations lors de la mission d’audit interne, tels que le rapport trop long ou trop vague,
Q13. Quelles sont les bonnes questions à se poser dans la conduite des missions d’audit interne ? Comment les formuler et y répondre ?
R13. Les bonnes questions à se poser dans la conduite des missions d’audit interne sont des interrogations qui permettent de clarifier ou d’approfondir les aspects importants ou problématiques du processus ou de l’activité auditée. Il existe plusieurs types de bonnes questions, tels que :
- Les questions liées au contexte : elles concernent l’environnement interne ou externe du processus ou de l’activité auditée, tels que les objectifs, les enjeux, les risques, les opportunités, etc.
- Les questions liées au processus : elles concernent le fonctionnement du processus ou de l’activité auditée, tels que les acteurs, les étapes, les ressources, les contrôles, les résultats, etc.
- Les questions liées aux écarts : elles concernent les différences entre le fonctionnement réel et le fonctionnement attendu du processus ou de l’activité auditée, tels que les causes, les conséquences, les responsabilités, les solutions, etc.
Pour formuler et répondre à ces bonnes questions, il faut adopter les règles suivantes :
- La pertinence : il faut que la question soit adaptée au périmètre et aux objectifs de la mission d’audit interne, ainsi qu’à la nature et à la fiabilité des données disponibles.
- La clarté : il faut que la question soit formulée de manière simple et précise, en évitant les ambiguïtés ou les sous-entendus.
- La réponse : il faut que la réponse soit fondée sur des faits et des preuves, en évitant les opinions ou les hypothèses.
Q14. Quels sont les livres et les formations sur la conduite des missions d’audit interne ? Comment les sélectionner et en profiter ?
R14. Les livres et les formations sur la conduite des missions d’audit interne sont des sources d’information ou de formation qui permettent d’acquérir ou de renforcer les compétences nécessaires pour réaliser efficacement et professionnellement les missions d’audit interne. Il existe une grande variété de livres et de formations sur la conduite des missions d’audit interne, qui peuvent être classés en trois catégories :
- Les livres et les formations généraux : ils concernent les principes et les fondamentaux de l’audit interne, tels que le CRIPP (Cadre de Référence International des Pratiques Professionnelles), le Code de Déontologie, la méthodologie générale de l’audit interne, etc.
- Les livres et les formations spécifiques : ils concernent un aspect particulier ou un domaine spécifique de l’audit interne, tels que la cartographie des risques,
Q15. Quels sont les exemples et les cas pratiques de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les analyser et s’en inspirer ?
R15. Les exemples et les cas pratiques de la conduite des missions d’audit interne sont des illustrations ou des simulations qui permettent de mettre en œuvre ou de s’exercer aux outils et aux techniques de l’audit interne. Il existe plusieurs types d’exemples et de cas pratiques de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Les exemples réels : ils concernent des missions d’audit interne effectivement réalisées par des auditeurs internes, qui partagent leur expérience et leurs enseignements, tels que les rapports d’audit interne, les témoignages d’auditeurs internes, les articles ou les études de cas publiés par des revues ou des associations professionnelles, etc.
- Les exemples fictifs : ils concernent des missions d’audit interne imaginées ou adaptées par des auteurs ou des formateurs, qui proposent des scénarios et des solutions possibles, tels que les livres ou les manuels d’audit interne, les supports ou les exercices de formation à l’audit interne, les jeux ou les simulations d’audit interne, etc.
Pour analyser et s’inspirer de ces exemples et de ces cas pratiques, il faut adopter les démarches suivantes :
- La comparaison : il s’agit de confronter l’exemple ou le cas pratique à sa propre expérience ou à sa propre situation, en identifiant les similitudes et les différences, les points forts et les points faibles, les opportunités et les menaces.
- L’apprentissage : il s’agit de tirer les leçons et les enseignements de l’exemple ou du cas pratique, en repérant les bonnes pratiques et les erreurs à éviter, les astuces et les conseils à suivre, les solutions et les recommandations à appliquer.
- L’adaptation : il s’agit de transposer ou de personnaliser l’exemple ou le cas pratique à son propre contexte ou à son propre objectif, en modifiant ou en complétant les éléments pertinents ou nécessaires.
Q17. Quels sont les enjeux et les opportunités de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les identifier et en tirer parti ?
R17. Les enjeux et les opportunités de la conduite des missions d’audit interne sont des défis ou des potentialités qui se présentent ou se dessinent pour l’audit interne. Il existe plusieurs types d’enjeux et d’opportunités de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Les enjeux et les opportunités liés à la valeur ajoutée : ils concernent la capacité de l’audit interne à apporter une contribution significative et reconnue à l’organisation auditée, en termes de maîtrise des risques, d’amélioration de la performance ou de renforcement de la confiance.
- Les enjeux et les opportunités liés à la qualité : ils concernent la capacité de l’audit interne à assurer un niveau de qualité optimal et constant dans la réalisation des missions d’audit interne, en termes de respect des normes et des référentiels, de documentation et de traçabilité des travaux, de communication claire et constructive des résultats, etc.
- Les enjeux et les opportunités liés à l’innovation : ils concernent la capacité de l’audit interne à innover ou à se renouveler dans la pratique de l’audit interne, en termes d’adaptation au contexte et aux besoins de l’organisation auditée, d’utilisation des outils et des techniques les plus performants ou les plus adaptés, de développement des compétences et des savoir-faire les plus recherchés ou les plus utiles, etc.
Pour identifier et tirer parti de ces enjeux et de ces opportunités, il faut adopter les actions suivantes :
- L’analyse : il s’agit de repérer et d’évaluer les enjeux et les opportunités qui se présentent ou se dessinent pour l’audit interne, en utilisant des méthodes et des outils appropriés (analyse SWOT, analyse PESTEL, etc.).
- La stratégie : il s’agit de définir et de mettre en œuvre une stratégie adaptée aux enjeux et aux opportunités identifiés pour l’audit interne, en utilisant des moyens et des ressources adéquats (plan stratégique d’audit interne, plan d’action d’audit interne, etc.).
- L’évaluation : il s’agit de mesurer et de valoriser les résultats obtenus suite à la mise en œuvre de la stratégie définie pour l’audit interne, en utilisant des indicateurs pertinents et fiables (taux de réalisation du plan d’action d’audit interne, taux de satisfaction des parties prenantes de l’audit interne, etc.).
Q19. Quels sont les pièges et les difficultés de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les éviter et les surmonter ?
R19. Les pièges et les difficultés de la conduite des missions d’audit interne sont des situations ou des problèmes qui peuvent entraver ou compromettre la réalisation des missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de pièges et de difficultés de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Les pièges et les difficultés liés à la relation avec les audités : ils concernent le manque ou l’excès de coopération ou de confiance entre les auditeurs internes et les audités, tels que les refus de communication ou d’accès à l’information, les conflits d’intérêts ou les pressions, les désaccords ou les résistances au changement, etc.
- Les pièges et les difficultés liés à la relation avec les autres parties prenantes : ils concernent le manque ou l’excès de coordination ou de concertation entre les auditeurs internes et les autres parties prenantes de l’organisation (management, comité d’audit, auditeurs externes, etc.), tels que les doublons ou les contradictions dans les travaux d’audit, les attentes ou les besoins divergents ou non satisfaits, les incompréhensions ou les malentendus, etc.
- Les pièges et les difficultés liés à la gestion du temps et des ressources : ils concernent le manque ou l’excès de planification ou de contrôle des activités et des moyens de l’audit interne, tels que les retards ou les dépassements dans le calendrier ou le budget des missions d’audit interne, les imprévus ou les urgences qui perturbent le déroulement des missions d’audit interne, les insuffisances ou les dysfonctionnements dans l’équipe ou les outils d’audit interne, etc.
Pour éviter et surmonter ces pièges et ces difficultés, il faut adopter les mesures suivantes :
- La prévention : il s’agit de prévoir et de réduire les sources potentielles de situations ou de problèmes difficiles pour l’audit interne, en adaptant la méthodologie et les outils aux spécificités du cas étudié.
- La résolution : il s’agit de faire face et de surmonter les situations ou les problèmes difficiles rencontrés par l’audit interne, en utilisant des techniques appropriées (négociation, médiation, arbitrage, etc.).
- La capitalisation : il s’agit de tirer les leçons et les enseignements des situations ou des problèmes difficiles vécus par l’audit interne, en documentant et en partageant les expériences et les solutions trouvées.
Q20. Quelle est la démarche et le processus de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les décrire et les documenter ?
R20. La démarche et le processus de la conduite des missions d’audit interne sont les étapes et les activités qui permettent de réaliser les missions d’audit interne. Ils sont décrits à la question 2. Pour les décrire et les documenter, il faut utiliser des supports et des outils adaptés, tels que :
- Le cahier des charges de la mission d’audit interne : il décrit le périmètre et les objectifs de la mission, ainsi que les livrables attendus et les destinataires du rapport.
- Le programme de travail de la mission d’audit interne : il décrit le calendrier, le budget, l’équipe et les moyens nécessaires pour réaliser la mission.
- Les feuilles de travail de la mission d’audit interne : elles décrivent les tests et les entretiens réalisés lors de la mission, ainsi que les données collectées et analysées.
- Le rapport de la mission d’audit interne : il décrit les constats et les recommandations issus de la mission, ainsi que les conclusions et les enseignements tirés.
- La fiche de suivi de la mission d’audit interne : elle décrit les actions correctives ou préventives mises en œuvre suite à la mission, ainsi que leur impact mesuré.
Q21. Quelles sont les méthodes et les approches de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les choisir et les adapter ?
R21. Les méthodes et les approches de la conduite des missions d’audit interne sont des manières ou des angles de réaliser les missions d’audit interne. Il existe plusieurs types de méthodes et d’approches de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Les méthodes et les approches par objectif : elles consistent à réaliser la mission d’audit interne en fonction du but ou du résultat visé, tels que l’évaluation du contrôle interne, l’évaluation de la performance, l’évaluation des risques, etc.
- Les méthodes et les approches par processus : elles consistent à réaliser la mission d’audit interne en fonction du fonctionnement ou du déroulement du processus ou de l’activité auditée, tels que l’analyse des flux, l’analyse des causes racines, l’analyse des points critiques, etc.
- Les méthodes et les approches par acteur : elles consistent à réaliser la mission d’audit interne en fonction du rôle ou du point de vue des acteurs impliqués dans le processus ou l’activité auditée, tels que l’analyse des besoins, l’analyse des attentes, l’analyse des perceptions, etc.
Pour choisir et adapter ces méthodes et ces approches, il faut tenir compte des critères suivants :
- La pertinence : il faut que la méthode ou l’approche soit adaptée au périmètre et aux objectifs de la mission d’audit interne, ainsi qu’à la nature et à la complexité du processus ou de l’activité auditée.
- La complémentarité : il faut que la méthode ou l’approche apporte une valeur ajoutée par rapport aux autres méthodes ou approches utilisées,
Q22. Quels sont les principes et les valeurs de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les respecter et les promouvoir ?
R22. Les principes et les valeurs de la conduite des missions d’audit interne sont des règles ou des idéaux qui guident ou inspirent la pratique de l’audit interne. Il existe plusieurs types de principes et de valeurs de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Les principes et les valeurs déontologiques : ils concernent le respect des normes et des règles qui régissent la profession d’auditeur interne, tels que l’indépendance, l’objectivité, la confidentialité, la compétence, etc.
- Les principes et les valeurs éthiques : ils concernent le respect des valeurs et des principes qui régissent le comportement de l’auditeur interne, tels que l’intégrité, l’honnêteté, la loyauté, le respect, etc.
- Les principes et les valeurs professionnelles : ils concernent le respect des exigences et des attentes qui régissent la qualité du travail de l’auditeur interne, tels que la rigueur, la fiabilité, la pertinence, l’utilité, etc.
Pour respecter et promouvoir ces principes et ces valeurs, il faut adopter les comportements suivants :
- La connaissance : il s’agit de se familiariser avec le contenu et la portée des principes et des valeurs applicables à la conduite des missions d’audit interne.
- Le respect : il s’agit de se conformer aux principes et aux valeurs applicables à la conduite des missions d’audit interne, en évitant toute dérogation ou transgression.
- L’exemplarité : il s’agit de montrer ou de démontrer le respect et l’application des principes et des valeurs applicables à la conduite des missions d’audit interne, en utilisant des moyens adaptés et attractifs (témoignages, retours d’expérience, etc.).
Q24. Quels sont les acteurs et les parties prenantes de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les identifier et les impliquer ?
- La communication : il s’agit de communiquer et d’échanger avec les acteurs et les parties prenantes de la mission d’audit interne, en utilisant des supports et des canaux adaptés à leurs besoins et à leurs attentes (rapports, réunions, entretiens, etc.).
- La concertation : il s’agit de consulter et d’associer les acteurs et les parties prenantes de la mission d’audit interne, en utilisant des techniques et des outils appropriés à leur niveau d’implication et de contribution (sondages, focus groupes, brainstorming, etc.).
Q25. Quel est le rôle et les responsabilités du responsable de la conduite des missions d’audit interne ? Comment les assumer et les exercer ?
R25. Le rôle et les responsabilités du responsable de la conduite des missions d’audit interne sont les fonctions et les obligations qui incombent au chef ou au manager de l’équipe d’audit interne. Il existe plusieurs types de rôle et de responsabilités du responsable de la conduite des missions d’audit interne, tels que :
- Le rôle et les responsabilités stratégiques : ils concernent la définition et la mise en œuvre de la stratégie d’audit interne, en lien avec la stratégie de l’organisation auditée, tels que l’élaboration du plan annuel d’audit interne, l’allocation du budget et des ressources à l’audit interne, le pilotage de la performance et de la satisfaction de l’audit interne, etc.
- Le rôle et les responsabilités opérationnels : ils concernent la supervision et le contrôle des activités d’audit interne, en lien avec les objectifs et les résultats attendus des missions d’audit interne, tels que la validation du cahier des charges et du programme de travail des missions d’audit interne, le suivi du déroulement et du respect des délais et du budget des missions d’audit interne, la revue du rapport et des recommandations des missions d’audit interne, etc.
- Le rôle et les responsabilités managériaux : ils concernent l’animation et le développement de l’équipe d’audit interne, en lien avec les compétences et les motivations des auditeurs internes, tels que la répartition des missions et des tâches entre les auditeurs internes,
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