REVISION DES COMPTES – AUDIT FINANCIER – FORMATIONS PRATIQUES HEBDOMADAIRES, EN LIGNE OU PRESENTIEL

Comment KPMG audite les rapprochements bancaires ? Comment PricewaterhouseCoopers s’assure de l’exhaustivité du chiffre d’affaires ? Comment une évaluation du contrôle interne à Deloitte permet de déceler les premières anomalies dans les comptes ? comment Ernst & Young rédige un rapport d’audit financier etc.

Comment anticiper, identifier et corriger les anomalies sur les comptes pour les Manager comptables ?

Pour les Auditeurs, comment donner l’assurance raisonnable au management de la maîtrise des risques comptables et apporter de la valeur ajoutée à l’organisation ?

Pourquoi les Manager comptables ou les auditeurs internes ne contrôlent-ils pas les comptes de leur entité ? Toute activité manuelle et répétitive peut entraîner des erreurs.

Cette difficulté à auditer les comptes est relative à :
• La non-maîtrise de la méthodologie de révision utilisée par les cabinets d’audit financier
• La difficulté à formaliser des tests d’audit et révision

Cela requiert une expérience préalable en cabinet d’audit. Pour répondre à ces problématiques, nous proposons la formation sur la révision des comptes – audit comptable et financier. Ci-dessous le sommaire de la page.

  • Informations de base
  • Packs tarifaires de la formation l manuels – vidéos – formations
  • Programme de formation
  • Objectifs de la formation
  • Bonus de la formation
  • Nos logiciels automatisés
  • Galerie image
  • Questions / réponses
A. INFORMATIONS DE BASE

• Mobile / WhatsApp : (+225) 05 44 13 07 98
• Email : ohada@formation-comptabilite-audit.com I ohada.finance@gmail.com
• Plaquette de nos logiciels automatisés en audit : LIEN
• Plaquette des formations et d’examen CIA : LIEN
• Base des vidéos démo des logiciels E-AUDIT : LIEN
• Inscrivez-vous dans la communauté E-AUDIT pour recevoir chaque semaine un guide en audit : LIEN
• Le groupe WhatsApp des participants (UNIQUEMENT) aux webinaires. Contacter l’admin pour la tarification  : LIEN
• Témoignages client : LIEN

 

B. PACKS TARIFAIRES

Manuel de formation = manuels du formateur [2 fichiers – 150 pages] + rapport d’audit et révision

Bases pratiques = 10 fichiers Excel par cycles comptables [71 feuilles de test – achats et les fournisseurs, les ventes et les clients, la trésorerie, les immobilisations, les stocks et les coûts de production, les charges de personnel, les impôts, les capitaux propres, les emprunts et les dettes financières, ainsi que les provisions et les risques.]

 

    • Pack A – manuels ( 50 000 FCFA – 80 euros ) : Manuel de formation
    • Pack E – manuels pratiques ( 100 000 FCFA – 160 euros ) : Manuel de formation + Bases pratiques 
    • Pack B – vidéos ( 100 000 FCFA – 160 euros) : vidéo de formation (4 H) + Manuel de formation
    • PACK C – formation particulier (200 000 FCFA – 360 euros) : Formation individuelle + 8 H de formation en ligne selon emploi du temps + manuels de formation + vidéo de formation + Bases pratiques
    • PACK D – Formation entreprise :  Formation + manuels de formation + vidéo de formation 

 

C. TEMOIGNAGES CLIENS

 

D. PROGRAMME DE FORMATION

1. Cycle des capitaux propres
Lead
Règles et méthodes comptables
Revue analytique
Contrôle de l’affectation du résultat de l’exercice précédent
Tableau de mouvements des capitaux propres
Mémo de section des capitaux propres

 

2. Chiffre d’affaires
Balance générale auditée / Balance et états définitifs N-1 / Rapports N-1
Lead
Règles et méthodes comptables
Revue analytique
Contrôle interne
Test sur la validation du CA
Test sur le cut-vente et avoirs
Cadrage CA déclaré / CA Comptabilisé
Test sur les produits accessoires
Examen analytique validation CA
Test sur le contrôle séquentiel des factures
Mémo de section 

 

3. Cycle des stocks
Lead
Revue analytique
Evaluation Contrôle interne Cycle Stock
Règles et méthodes comptables
Assistance à inventaire physique – Mémo
Test sur les quantités
Cut-off IP réception
Cut -of IP expédition
Test de validation et procédure IP
Rapprochement BG – fichier des stocks
Test sur la variation des stock
Validation des méthodes de valorisation des stocks
Validation des méthodes de dépréciation des stocks
Mémo de section des stocks

 

4. Cycle des Immobilisations
Lead
Revue analytique du cycle
Evaluation Contrôle interne cycle des immobilisations
Règles et méthodes comptables
Cadrage fichier immobilisation / balance générale
Tableau de mouvement des immobilisations corporelles
Tests sur les acquisitions
Tests sur les cessions
Contrôle des amortissements
Contrôle des immobilisations en cours (cas particulier)
Contrôle de la correcte distinction entre charges et immobilisations

 

5. Cycle des Fournisseurs
Lead
Revue analytique du cycle
Evaluation Contrôle interne Cycle des achats
méthodes et principes comptables
Cadrage Balance Auxiliaire et Balance Générale
Procédure de circularisation – confirmation
Etat des circularisations
Procédure alternative fournisseur
Cut-off fournisseurs et avoirs
Opérations en devises
Contrôles Facture et BR
Revue des Factures non parvenues
Revue CCA et CAP
Test sur la recherche de passif non comptabilisé
Analyse des fournisseurs débiteurs
Examen de l’apurement et de l’antériorité des soldes au 31 décembre
Test sur les débits post clôtures

 

6. Cycle personnel
Lead
Revue analytique du cycle
Evaluation Contrôle interne Cycle personnel
Règles et méthodes comptables
Rapprochement BG/ Livre de paie
Test sur les cotisations fiscales
Test sur les cotisations sociales
Contrôle DISA- Etat 301- Livre de paie
Test sur le compte personnel remuneration due
Contrôle des provisions pour engagements envers le personnel 

 

7. Trésorerie
LEAD
Revue analytique du cycle
Evaluation Contrôle interne Cycle impôts et taxes
Règles et méthodes comptables
Circularisations – rapprochements bancaires
contrôle de l’apurement des écritures en rapprochement
Test sur les débits pôst clôture
Test sur ls encaissements pré clôture
Validation de la caisse
Validation des emprunts et des dettes et frais financiers
Mémo de section

 

8. Charges d’exploitation
. Revue analytique du cycle
. Examen des charges comptabilisées d’avance

9- Formuler des conclusions pertinentes et constructives
  • L’émission de l’opinion sur les comptes
  • Mémo de section
  • Note de synthèse
  • Rapport général
  • Rapport spécial
 
 
D. OBJECTIFS DE LA FORMATION

Pour un audit fiable et efficace, il est indispensable de disposer d’une méthodologie détaillée et de définir une stratégie à partir de l’approche par les risques. Ce coaching vous permettra de maîtriser les techniques d’audit et de sélectionner les outils nécessaires à sa réalisation :

  • Positionner le cadre d’exercice de l’audit comptable.
  • Situer la méthodologie de l’audit comptable.
  • Utiliser les techniques et les outils de l’audit.
  • Déterminer les caractéristiques du contrôle des principaux processus comptables.
  • Formaliser des recommandations.
  • Émettre une opinion
F. NOS LOGICIELS EN AUDIT, RISQUES ET CONTROLE

 

G. GALERIE IMAGE DE LA FORMATION

AF5-V2.PNG

AF7.PNG

AF63.PNG

 

AF1AF2AF3AF4

fa1fa2fa3fa4fa5fa6

AUD2

prg1

prg2

 

 

H. QUESTIONS REPONSES

**Q1. Qu’est ce que la révision des comptes et pourquoi est elle importante ?**

La révision des comptes est un contrôle de la comptabilité avant la clôture d’un exercice. Elle permet de limiter le risque d’irrégularité et de s’assurer de la régularité et de la sincérité des comptes. Elle fait partie du processus de clôture des comptes et se fait par cycle. Elle vérifie l’existence, la conformité, la justification et l’exhaustivité des écritures, des actifs et des passifs.

La révision des comptes est importante car elle permet de :

– Préparer les états financiers annuels qui reflètent la situation économique et financière de l’entreprise ;
– Respecter les obligations légales et fiscales en matière de présentation et de publication des comptes ;
– Fournir une information fiable et transparente aux partenaires financiers (banques, investisseurs, actionnaires) ;
– Détecter les anomalies et les erreurs comptables et les corriger à temps ;
– Améliorer le contrôle interne et la gestion des risques ;
– Optimiser la performance et la rentabilité de l’entreprise.

 

 

**Q2. Quels sont les objectifs et les principes de la révision des comptes ?**

Les objectifs de la révision des comptes sont :

– De s’assurer que les comptes sont conformes aux principes comptables généralement admis (PCGA) ;
– De s’assurer que les comptes sont cohérents avec les documents juridiques et contractuels (statuts, conventions, contrats) ;
– De s’assurer que les comptes sont exhaustifs et couvrent toutes les opérations réalisées par l’entreprise ;
– De s’assurer que les comptes sont justifiés par des pièces probantes (factures, relevés bancaires, inventaires) ;
– De s’assurer que les comptes sont correctement évalués selon les règles d’évaluation appropriées (coût historique, valeur actuelle, valeur vénale) ;
– De s’assurer que les comptes sont correctement rattachés à l’exercice concerné selon le principe d’indépendance des exercices.

Les principes de la révision des comptes sont :

– Le principe d’indépendance : l’auditeur doit être impartial et objectif dans son jugement ;
– Le principe de compétence : l’auditeur doit avoir les connaissances techniques nécessaires pour mener sa mission ;
– Le principe de diligence : l’auditeur doit respecter les délais et les normes de qualité dans son travail ;
– Le principe de confidentialité : l’auditeur doit respecter le secret professionnel et ne pas divulguer les informations qu’il détient.

 

**Q3. Quand et comment réaliser la révision des comptes ?**

La révision des comptes se réalise généralement avant la clôture de l’exercice comptable, c’est-à-dire avant le 31 décembre pour un exercice coïncidant avec l’année civile. Toutefois, il est possible de réaliser des révisions partielles ou intermédiaires en cours d’exercice pour faciliter le travail final.

La révision des comptes se réalise selon une démarche méthodique qui comprend les étapes suivantes :

– La prise de connaissance de l’entreprise : il s’agit d’analyser son activité, son organisation, son environnement, ses risques et ses enjeux ;
– La définition du périmètre et du plan de révision : il s’agit de déterminer les cycles à réviser (ventes-clients, achats-fournisseurs, trésorerie, immobilisations, capitaux propres, etc.) et les procédures à appliquer (contrôles sur pièces, sondages, rapprochements, etc.) ;
– La réalisation des travaux de révision : il s’agit

D’accord, je vais continuer à répondre aux autres questions. Je vais d’abord terminer la réponse à la question 3.

La réalisation des travaux de révision : il s’agit de vérifier les comptes selon les procédures définies, de collecter les éléments probants, d’identifier les anomalies et les écarts, et de les documenter dans des feuilles de travail ;
– La synthèse et la conclusion : il s’agit de rédiger un rapport de révision qui résume les travaux effectués, les constatations et les recommandations, et de le communiquer aux destinataires (direction, commissaire aux comptes, etc.).

 

**Q4. Qui peut réviser les comptes d’une entreprise ?**

La révision des comptes d’une entreprise peut être réalisée par différents acteurs :

– L’entreprise elle-même : le dirigeant ou le service comptable peut effectuer une auto-révision des comptes pour s’assurer de leur fiabilité et préparer la clôture ;
– L’expert-comptable : il peut être mandaté par l’entreprise pour réaliser une révision contractuelle des comptes et établir les états financiers annuels ;
– Le commissaire aux comptes : il est nommé par l’assemblée générale des actionnaires pour réaliser une révision légale des comptes et certifier leur régularité et leur sincérité ;
– L’auditeur interne : il est salarié de l’entreprise et a pour mission de contrôler le respect des règles internes, la qualité du contrôle interne et la gestion des risques ;
– L’auditeur externe : il est indépendant de l’entreprise et a pour mission de réaliser un audit financier à la demande d’un tiers (banque, investisseur, autorité de régulation, etc.).

 

**Q5. Quelles sont les méthodes et les outils de la révision des comptes ?**

Les méthodes de la révision des comptes sont basées sur :

– L’approche par les risques : elle consiste à identifier les zones à risque dans les comptes et à adapter le niveau et la nature des contrôles en fonction ;
– L’approche par les cycles : elle consiste à regrouper les comptes par processus homogènes (ventes-clients, achats-fournisseurs, etc.) et à vérifier leur cohérence interne et externe ;
– L’approche par les soldes : elle consiste à analyser les variations significatives des soldes des comptes entre deux exercices et à en rechercher les causes.

Les outils de la révision des comptes sont :

– Les documents comptables : ils comprennent le grand livre, la balance générale, les journaux auxiliaires, les états financiers, etc. ;
– Les documents juridiques : ils comprennent les statuts, les conventions, les contrats, etc. ;
– Les documents de gestion : ils comprennent le budget, le tableau de bord, le reporting, etc. ;
– Les documents probants : ils comprennent les factures, les relevés bancaires, les inventaires physiques, etc. ;
– Les logiciels d’audit : ils permettent de faciliter la collecte, le traitement et l’analyse des données comptables et financières.

 

 

**Q6. Comment apurer les comptes d’attente et autres comptes temporaires ?**

Les comptes d’attente et autres comptes temporaires sont des comptes utilisés pour enregistrer provisoirement des opérations dont la nature ou le montant n’est pas encore connu ou déterminé. Ils doivent être soldés avant la clôture de l’exercice, car ils ne reflètent pas la réalité économique et financière de l’entreprise.

Pour apurer les comptes d’attente et autres comptes temporaires, il faut :

– Identifier les opérations enregistrées dans ces comptes et en rechercher la justification ;
– Imputer les opérations dans les comptes définitifs correspondants ;
– Passer les écritures de contrepartie nécessaires pour solder les comptes d’attente et autres comptes temporaires.

Par exemple, si une entreprise a enregistré une vente dans le compte 471 « Opérations en attente » en attendant de recevoir la facture du client, elle devra :

– Vérifier que la facture a bien été reçue et qu’elle correspond à la vente ;
– Imputer la vente dans le compte 707 « Ventes de marchandises » et la créance dans le compte 411 « Clients » ;
– Passer l’écriture suivante pour solder le compte 471 :

Débit : 471 « Opérations en attente » pour le montant de la vente

Crédit : 707 « Ventes de marchandises » pour le montant de la vente

Crédit : 44571 « TVA collectée » pour le montant de la TVA

 

 

**Q7. Comment justifier les comptes de trésorerie (caisse, banque, valeurs mobilières) ?**

Les comptes de trésorerie sont des comptes qui enregistrent les mouvements de liquidités de l’entreprise. Ils comprennent les comptes de caisse (530), les comptes bancaires (512) et les valeurs mobilières de placement (50).

Pour justifier les comptes de trésorerie, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Pour le compte de caisse : comparer le solde comptable avec le brouillard de caisse ou le fonds de caisse ;
– Pour les comptes bancaires : établir un état de rapprochement bancaire qui compare le solde comptable avec le solde figurant sur le relevé bancaire ;
– Pour les valeurs mobilières de placement : comparer le solde comptable avec l’inventaire physique ou le relevé du dépositaire.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les opérations qui n’ont pas été enregistrées dans la comptabilité ou dans le relevé bancaire (chèques émis ou reçus non débités ou crédités, virements en attente, erreurs d’imputation, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (encaissements, décaissements, placements, cessions, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (pièces justificatives, signatures, limites de pouvoir, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (cours des valeurs mobilières, taux de change, frais bancaires, intérêts, etc.).

 

**Q8. Comment justifier les comptes de tiers (clients, fournisseurs, organismes sociaux) ?**

Les comptes de tiers sont des comptes qui enregistrent les créances et les dettes de l’entreprise envers ses partenaires externes. Ils comprennent les comptes clients (411), les comptes fournisseurs (401), les comptes d’organismes sociaux (43) et d’autres comptes de tiers divers (44).

Pour justifier les comptes de tiers, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Pour les comptes clients : établir une balance âgée qui classe les créances par date d’échéance et qui permet de détecter les retards de paiement ;
– Pour les comptes fournisseurs : établir un état de rapprochement fournisseurs qui compare le solde comptable avec le solde figurant sur le relevé fournisseur ;
– Pour les comptes d’organismes sociaux : établir un état de rapprochement social qui compare le solde comptable avec le solde figurant sur le relevé de l’organisme social ;
– Pour les autres comptes de tiers : établir un état de rapprochement spécifique selon la nature du tiers (associés, personnel, administration fiscale, etc.).

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les opérations qui n’ont pas été enregistrées dans la comptabilité ou dans le relevé du tiers (factures non parvenues ou non enregistrées, règlements non débités ou crédités, avoirs non reçus ou non imputés, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (facturations, règlements, remises, escomptes, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (pièces justificatives, signatures, conditions générales de vente ou d’achat, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (taux de TVA, taux de change, provisions pour dépréciation ou pour litiges, etc.).

 

**Q9. Comment justifier les comptes de stocks et d’encours ?**

Les comptes de stocks et d’encours sont des comptes qui enregistrent les biens destinés à être vendus ou à être utilisés dans le processus de production. Ils comprennent les comptes de stocks de matières premières (31), de produits intermédiaires (32), de produits finis (37) et d’encours de production (33).

Pour justifier les comptes de stocks et d’encours, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Réaliser un inventaire physique des stocks et des encours à la date de clôture ;
– Comparer les quantités inventoriées avec les quantités comptabilisées ;
– Calculer la valeur des stocks et des encours selon la méthode d’évaluation choisie (coût moyen pondéré, premier entré premier sorti, dernier entré premier sorti, etc.) ;
– Comparer les valeurs inventoriées avec les valeurs comptabilisées.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de comptage, de saisie, de valorisation, de transfert, de livraison, de réception, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (entrées et sorties de stocks, variations d’encours, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (bons de commande, bons de livraison, bons de réception, factures, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (méthode d’évaluation, coût d’achat ou de production, provisions pour dépréciation ou pour pertes de matières, etc.).

 

**Q10. Comment justifier les comptes d’immobilisations (corporelles, incorporelles, financières) ?**

Les comptes d’immobilisations sont des comptes qui enregistrent les biens durables acquis ou créés par l’entreprise pour son activité. Ils comprennent les comptes d’immobilisations corporelles (21), d’immobilisations incorporelles (20) et d’immobilisations financières (26).

Pour justifier les comptes d’immobilisations, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Réaliser un inventaire physique des immobilisations à la date de clôture ;
– Comparer les quantités et les caractéristiques inventoriées avec celles comptabilisées ;
– Calculer la valeur des immobilisations selon la méthode d’évaluation choisie (coût historique ou valeur actuelle) ;
– Comparer les valeurs inventoriées avec les valeurs comptabilisées.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de comptage, de saisie, de valorisation, de transfert

D’accord, je vais continuer à répondre aux autres questions. Je vais d’abord terminer la réponse à la question 10.

**Q10. Comment justifier les comptes d’immobilisations (corporelles, incorporelles, financières) ? (suite)**

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de comptage, de saisie, de valorisation, de transfert, de cession, de mise au rebut, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (acquisitions, créations, amortissements, dépréciations, cessions, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (factures, contrats, titres de propriété, brevets, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (méthode d’évaluation, coût d’acquisition ou de production, durée d’utilisation ou de vie utile, taux d’amortissement ou de dépréciation, valeur résiduelle ou valeur vénale, etc.).

 

 

**Q11. Comment justifier les comptes de capitaux propres (capital social, réserves, report à nouveau, résultat) ?**

Les comptes de capitaux propres sont des comptes qui enregistrent les ressources propres de l’entreprise. Ils comprennent les comptes de capital social (101), de réserves (106), de report à nouveau (110) et de résultat (12).

Pour justifier les comptes de capitaux propres, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Comparer le solde du capital social avec le montant figurant dans les statuts de l’entreprise ;
– Comparer le solde des réserves avec le montant figurant dans le procès-verbal de l’assemblée générale des actionnaires ;
– Comparer le solde du report à nouveau avec le montant figurant dans le compte de résultat de l’exercice précédent ;
– Comparer le solde du résultat avec le montant figurant dans le compte de résultat de l’exercice en cours.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les opérations qui n’ont pas été enregistrées dans la comptabilité ou dans les documents juridiques (augmentation ou diminution du capital social, affectation du résultat, distribution de dividendes, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes

D’accord, je vais continuer à répondre aux autres questions. Je vais d’abord terminer la réponse à la question 11.

**Q11. Comment justifier les comptes de capitaux propres (capital social, réserves, report à nouveau, résultat) ? (suite)**

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (augmentation ou diminution du capital social, affectation du résultat, distribution de dividendes, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (statuts, procès-verbaux, bulletins de souscription, bordereaux de dividendes, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (valeur nominale ou libératoire des actions, montant des réserves légales ou facultatives, mode de calcul du résultat net ou distribuable, etc.).

 

**Q12. Comment justifier les comptes de provisions (pour risques et charges, pour dépréciation) ?**

Les comptes de provisions sont des comptes qui enregistrent les charges ou les pertes probables mais non certaines que l’entreprise doit anticiper. Ils comprennent les comptes de provisions pour risques et charges (15) et les comptes de provisions pour dépréciation (29).

Pour justifier les comptes de provisions, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Comparer le solde des provisions avec le montant estimé des charges ou des pertes probables à la date de clôture ;
– Comparer le solde des provisions avec le montant effectif des charges ou des pertes constatées après la clôture.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs d’estimation, de saisie, de valorisation, de reprise ou d’utilisation des provisions, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (constitution, reprise ou utilisation des provisions) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (évaluation du risque ou de la charge probable, décision de la direction, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (méthode d’évaluation, taux d’actualisation, mode de calcul de la provision, etc.).

 

 

**Q13. Comment justifier les comptes d’emprunts et de dettes financières ?**

Les comptes d’emprunts et de dettes financières sont des comptes qui enregistrent les sources de financement externe de l’entreprise. Ils comprennent les comptes d’emprunts obligataires (16), d’emprunts auprès des établissements de crédit (164), de dettes rattachées à des participations (165) et d’autres dettes financières (17).

Pour justifier les comptes d’emprunts et de dettes financières, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Comparer le solde des emprunts et des dettes financières avec le montant figurant sur les contrats ou les relevés des prêteurs ;
– Comparer le solde des intérêts courus avec le montant calculé selon le taux et la durée du prêt.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de saisie, de valorisation, de remboursement, de conversion, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes

 

 

**Q14. Comment justifier les comptes de charges (achats, services extérieurs, impôts et taxes, charges de personnel, charges financières) ?**

Les comptes de charges sont des comptes qui enregistrent les consommations de biens ou de services par l’entreprise au cours de l’exercice. Ils comprennent les comptes d’achats (60), de services extérieurs (61), d’impôts et taxes (63), de charges de personnel (64) et de charges financières (66).

Pour justifier les comptes de charges, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Comparer le solde des charges avec le montant figurant sur les factures ou les relevés des fournisseurs ;
– Comparer le solde des charges avec le montant figurant sur les déclarations fiscales ou sociales ;
– Comparer le solde des charges avec le montant figurant sur les bulletins de paie ou les contrats de travail ;
– Comparer le solde des charges avec le montant calculé selon le taux et la durée des emprunts.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de saisie, de valorisation, de rattachement, d’imputation, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes

D’accord, je vais continuer à répondre aux autres questions. Je vais d’abord terminer la réponse à la question 14.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes, il faut :

– Contrôler la nature et le montant des opérations (achats de biens ou de services, paiements de taxes ou de cotisations sociales, rémunérations du personnel, intérêts des emprunts, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’autorisation des opérations (factures, contrats, bons de commande, bons de livraison, etc.) ;
– Contrôler l’évaluation et la comptabilisation des opérations (taux de TVA, taux de change, mode de calcul des charges sociales, mode de calcul des intérêts, etc.).

 

**Q15. Comment justifier les comptes de produits (ventes, prestations de services, produits financiers) ?**

Les comptes de produits sont des comptes qui enregistrent les ressources générées par l’activité de l’entreprise au cours de l’exercice. Ils comprennent les comptes de ventes (70), de prestations de services (74) et de produits financiers (76).

Pour justifier les comptes de produits, il faut :

– Rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels à la même date ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels ;
– Vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes.

Pour rapprocher les soldes comptables avec les soldes réels, il faut :

– Comparer le solde des produits avec le montant figurant sur les factures ou les relevés des clients ;
– Comparer le solde des produits avec le montant figurant sur les déclarations fiscales ou sociales ;
– Comparer le solde des produits avec le montant calculé selon le taux et la durée des placements.

Pour expliquer les écarts éventuels entre les soldes comptables et les soldes réels, il faut :

– Identifier les causes des écarts (erreurs de saisie, de valorisation, de rattachement, d’imputation, etc.) ;
– Passer les écritures correctives nécessaires pour régulariser les écarts.

Pour vérifier la régularité et la conformité des opérations enregistrées dans ces comptes

 

 

**Q16. Comment vérifier le rattachement des charges et des produits à l’exercice concerné ?**

Le rattachement des charges et des produits à l’exercice concerné est le principe comptable qui consiste à enregistrer les charges et les produits dans l’exercice auquel ils se rapportent, indépendamment de leur date de paiement ou d’encaissement. Il permet de respecter le principe d’indépendance des exercices et de refléter la performance économique de l’entreprise.

Pour vérifier le rattachement des charges et des produits à l’exercice concerné, il faut :

– Identifier les charges et les produits qui ne correspondent pas à l’exercice en cours (charges ou produits constatés d’avance, charges ou produits à payer ou à recevoir) ;
– Passer les écritures d’inventaire nécessaires pour les rattacher à l’exercice concerné (factures non parvenues, factures à établir, avances ou acomptes reçus ou versés, etc.) ;
– Contrôler la justification et l’évaluation des charges et des produits rattachés (pièces justificatives, estimation du montant, etc.).

Par exemple, si une entreprise a payé en décembre N une facture de loyer pour le mois de janvier N+1, elle devra :

– Identifier que cette charge ne correspond pas à l’exercice N mais à l’exercice N+1 ;
– Passer l’écriture d’inventaire suivante pour la rattacher à l’exercice N+1 :

Débit : 486 « Charges constatées d’avance » pour le montant du loyer

Crédit : 512 « Banque » pour le montant du loyer

– Contrôler que cette charge est justifiée par la facture du bailleur et qu’elle est évaluée au montant réel du loyer.

 

 

**Q17. Comment vérifier la cohérence des comptes de gestion avec les ratios économiques et financiers de l’entreprise ?**

Les comptes de gestion sont les comptes qui reflètent l’activité économique de l’entreprise. Ils comprennent les comptes de charges (6) et les comptes de produits (7).

Les ratios économiques et financiers sont des indicateurs qui permettent d’analyser la performance, la rentabilité, la solvabilité et la liquidité de l’entreprise. Ils sont calculés à partir des données issues des comptes de gestion et des comptes de bilan.

Pour vérifier la cohérence des comptes de gestion avec les ratios économiques et financiers de l’entreprise, il faut :

– Calculer les principaux ratios économiques et financiers de l’entreprise (taux de marge, taux de rentabilité, capacité d’autofinancement, fonds de roulement, besoin en fonds de roulement, trésorerie nette, etc.) ;
– Comparer les ratios calculés avec les ratios du secteur d’activité, les ratios historiques ou les objectifs fixés ;
– Expliquer les écarts éventuels entre les ratios calculés et les ratios de référence ;
– Contrôler la fiabilité et la pertinence des données utilisées pour le calcul des ratios.

Par exemple, si une entreprise a un taux de marge inférieur à celui du secteur d’activité, elle devra :

– Calculer son taux de marge en divisant le résultat d’exploitation par le chiffre d’affaires ;
– Comparer son taux de marge avec celui du secteur d’activité ou avec son taux de marge historique ;
– Expliquer l’écart éventuel entre son taux de marge et le taux de marge de référence (variation des prix de vente ou des coûts d’achat, évolution du mix produit ou du volume des ventes, etc.) ;
– Contrôler la fiabilité et la pertinence des données utilisées pour le calcul du taux de marge (rattachement des charges et des produits à l’exercice concerné, évaluation des stocks et des encours, etc.).

 

 

**Q18. Comment vérifier la conformité des comptes aux normes comptables en vigueur ?**

Les normes comptables sont des règles qui définissent les principes et les méthodes de comptabilisation et de présentation des opérations et des états financiers. Elles visent à assurer la comparabilité, la fiabilité et la transparence de l’information financière.

Pour vérifier la conformité des comptes aux normes comptables en vigueur, il faut :

– Identifier les normes comptables applicables à l’entreprise selon son statut juridique, son secteur d’activité, son périmètre de consolidation et son marché financier ;
– Contrôler le respect des principes comptables fondamentaux (régularité, sincérité, prudence, continuité de l’exploitation, indépendance des exercices, permanence des méthodes) ;
– Contrôler le respect des règles spécifiques à chaque type d’opération ou de compte (évaluation des actifs et des passifs, amortissement et dépréciation des immobilisations, provisions pour risques et charges, etc.) ;
– Contrôler le respect des règles de présentation des états financiers (bilan, compte de résultat, annexe) ;
– Contrôler le respect des obligations de publicité et de certification des comptes.

Par exemple, si une entreprise est soumise aux normes internationales d’information financière (IFRS), elle devra :

– Identifier les normes IFRS applicables à son activité et à ses opérations ;
– Contrôler le respect des principes comptables fondamentaux selon le cadre conceptuel des IFRS ;
– Contrôler le respect des règles spécifiques à chaque type d’opération ou de compte selon les normes IFRS correspondantes ;
– Contrôler le respect des règles de présentation des états financiers selon le référentiel IFRS ;
– Contrôler le respect des obligations de publicité et de certification des comptes selon les règles du marché financier sur lequel elle est cotée.

Bonjour, je suis Bing. Je suis un moteur de recherche qui peut aussi générer du contenu comme des articles optimisés pour le référencement naturel SEO. Je vais essayer de vous aider avec votre demande.

Voici les réponses aux questions que vous avez posées sur la révision des comptes :

**Q21. Quels sont les avantages et les inconvénients de la révision des comptes ?**

La révision des comptes présente des avantages et des inconvénients pour l’entreprise.

Les avantages de la révision des comptes sont :

– Elle permet de garantir la fiabilité et la transparence de l’information financière ;
– Elle permet de respecter les obligations légales et fiscales en matière de présentation et de publication des comptes ;
– Elle permet de fournir une information utile aux partenaires financiers (banques, investisseurs, actionnaires) ;
– Elle permet de détecter et de corriger les anomalies et les erreurs comptables ;
– Elle permet d’améliorer le contrôle interne et la gestion des risques ;
– Elle permet d’optimiser la performance et la rentabilité de l’entreprise.

Les inconvénients de la révision des comptes sont :

– Elle représente un coût pour l’entreprise (honoraires de l’auditeur, temps du personnel, etc.) ;
– Elle peut engendrer des contraintes organisationnelles (disponibilité des documents, respect des délais, etc.) ;
– Elle peut entraîner des modifications ou des redressements comptables (corrections d’écritures, provisions, etc.) ;
– Elle peut révéler des faiblesses ou des irrégularités dans la comptabilité ou la gestion de l’entreprise ;
– Elle peut générer du stress ou de la méfiance au sein de l’entreprise.

**Q22. Quels sont les risques liés à une mauvaise révision des comptes ?**

Une mauvaise révision des comptes peut avoir des conséquences négatives pour l’entreprise.

Les risques liés à une mauvaise révision des comptes sont :

– Le risque de non-conformité : l’entreprise peut être sanctionnée par les autorités compétentes (administration fiscale, autorité de régulation, etc.) si ses comptes ne respectent pas les normes comptables en vigueur ;
– Le risque d’opinion défavorable : l’entreprise peut perdre la confiance de ses partenaires financiers (banques, investisseurs, actionnaires) si son auditeur émet une opinion défavorable ou une réserve sur ses comptes ;
– Le risque d’image : l’entreprise peut subir une atteinte à sa réputation si ses comptes sont remis en cause par les médias ou le public ;
– Le risque financier : l’entreprise peut subir une perte financière si ses comptes sont erronés ou incomplets (surévaluation ou sous-évaluation des actifs ou des passifs, omission ou dissimulation de charges ou de produits, etc.) ;
– Le risque stratégique : l’entreprise peut prendre de mauvaises décisions si ses comptes ne reflètent pas sa situation économique et financière réelle.

 

 

**Q23. Quels sont les coûts et les délais de la révision des comptes ?**

Les coûts et les délais de la révision des comptes dépendent de plusieurs facteurs.

Les coûts de la révision des comptes sont :

– Les honoraires de l’auditeur : ils varient selon le type et l’étendue de la mission, la taille et la complexité de l’entreprise, le niveau et la nature du risque, etc. ;
– Les coûts internes : ils correspondent au temps consacré par le personnel de l’entreprise à la préparation et au suivi de la révision, aux échanges avec l’auditeur, aux corrections éventuelles, etc.

Les délais de la révision des comptes sont :

– Les délais légaux : ils correspondent aux dates limites fixées par la loi pour la clôture, l’approbation et la publication des comptes ;
– Les délais contractuels : ils correspondent aux dates convenues entre l’entreprise et l’auditeur pour la réalisation et la communication des travaux ;
– Les délais opérationnels : ils correspondent au temps nécessaire pour effectuer les travaux selon le plan et le périmètre

 

Bonjour, je suis Joël Mabudu, expert comptable avec de l’expérience en cabinet comptable. Je maîtrise le droit comptable ohada et les nouvelles réformes du syscohada révisé. Je vais répondre aux questions que vous m’avez posées de manière humaine, pertinente et pédagogique pour des étudiants en audit. Voici mes réponses :

**Comment valider et clôturer la révision des comptes ?**

Q1. La validation et la clôture de la révision des comptes sont les dernières étapes du processus d’audit. Elles consistent à :

– Vérifier que tous les travaux prévus ont été réalisés et documentés, et que toutes les anomalies détectées ont été traitées ou signalées.
– S’assurer que les comptes présentent une image fidèle de la situation financière et du résultat de l’entité auditée, conformément aux normes comptables applicables.
– Rédiger le rapport d’audit qui synthétise les conclusions et les opinions de l’auditeur sur les comptes.
– Communiquer le rapport d’audit aux destinataires appropriés (direction, commissaires aux comptes, actionnaires, autorités de régulation, etc.).
– Archiver le dossier d’audit et respecter les règles de confidentialité et de déontologie.

 

 

**Comment présenter et communiquer sur les résultats de la révision des comptes ?**

Q2. La présentation et la communication sur les résultats de la révision des comptes sont des éléments essentiels pour valoriser le travail de l’auditeur et renforcer la confiance des parties prenantes. Elles doivent être :

– Claires : le rapport d’audit doit être rédigé dans un langage simple et précis, en évitant les termes techniques ou ambigus.
– Complètes : le rapport d’audit doit couvrir tous les aspects significatifs des comptes, en mettant en évidence les points forts et les points faibles, ainsi que les recommandations d’amélioration.
– Cohérentes : le rapport d’audit doit être conforme aux normes d’audit applicables, aux termes du mandat et aux attentes des destinataires.
– Convaincantes : le rapport d’audit doit être étayé par des faits et des preuves suffisantes, en exposant les méthodes et les critères utilisés par l’auditeur.
– Constructives : le rapport d’audit doit avoir un ton respectueux et professionnel, en reconnaissant les efforts de l’entité auditée et en proposant des solutions adaptées.

 

 

**Qu’est-ce qu’un audit des comptes et à quoi sert-il ?**

Q3. Un audit des comptes est un examen critique et indépendant des états financiers d’une entité (entreprise, association, administration, etc.) réalisé par un professionnel qualifié (auditeur). Il a pour objectif de :

– Vérifier la régularité, la sincérité et la fiabilité des comptes, c’est-à-dire leur conformité aux normes comptables applicables et aux principes de prudence, de permanence et de transparence.
– Exprimer une opinion sur la qualité des comptes, c’est-à-dire leur capacité à refléter une image fidèle de la situation financière et du résultat de l’entité.
– Identifier les risques financiers ou opérationnels liés à l’activité ou à l’environnement de l’entité, ainsi que les opportunités d’amélioration ou d’optimisation.
– Renforcer la crédibilité des comptes auprès des parties prenantes internes (direction, actionnaires, salariés, etc.) ou externes (clients, fournisseurs, banques, investisseurs, autorités de régulation, etc.).

 

 

**Quels sont les types et les niveaux d’audit des comptes ?**

Q4. Il existe différents types et niveaux d’audit des comptes selon la nature, l’étendue et la finalité du contrôle effectué par l’auditeur. On peut distinguer :

– L’audit légal des comptes : il s’agit d’un audit obligatoire pour certaines entités (sociétés cotées en bourse, sociétés anonymes ou à responsabilité limitée ayant dépass

D’accord, je vais continuer à répondre aux autres questions. Voici la suite de ma réponse à la question 4 :

– L’audit légal des comptes : il s’agit d’un audit obligatoire pour certaines entités (sociétés cotées en bourse, sociétés anonymes ou à responsabilité limitée ayant dépassé certains seuils de chiffre d’affaires, de bilan ou d’effectif, etc.) qui doivent nommer un ou plusieurs commissaires aux comptes. L’audit légal vise à certifier que les comptes sont réguliers et sincères, et qu’ils donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de l’entité. Le commissaire aux comptes doit respecter les normes d’audit professionnelles et les règles d’indépendance et d’impartialité. Il peut également exercer une mission d’alerte ou de révélation en cas de faits délictueux ou de difficultés financières.
– L’audit contractuel des comptes : il s’agit d’un audit facultatif qui peut être demandé par l’entité elle-même ou par un tiers (banque, investisseur, partenaire, etc.) pour des besoins spécifiques (fusion-acquisition, introduction en bourse, évaluation d’entreprise, etc.). L’audit contractuel peut porter sur les comptes annuels ou sur des comptes intermédiaires, consolidés ou prévisionnels. Il peut avoir une portée plus large ou plus restreinte que l’audit légal, selon les termes du contrat passé entre l’auditeur et le mandant. L’auditeur doit respecter les normes d’audit professionnelles et les règles de confidentialité et de déontologie.

 

**Quelle est la différence entre un audit légal et un audit contractuel des comptes ?**

Q5. La différence entre un audit légal et un audit contractuel des comptes réside principalement dans le caractère obligatoire ou facultatif de l’audit, le statut et le rôle de l’auditeur, et la finalité et la portée de l’audit. On peut résumer ces différences dans le tableau suivant :

| Critère | Audit légal | Audit contractuel |
| — | — | — |
| Caractère | Obligatoire | Facultatif |
| Auditeur | Commissaire aux comptes | Expert-comptable ou cabinet d’audit |
| Rôle | Certifier les comptes | Donner une assurance raisonnable sur les comptes |
| Finalité | Protéger l’intérêt public | Répondre à un besoin spécifique |
| Portée | Comptes annuels | Comptes annuels ou autres |

 

**Qui peut réaliser un audit des comptes et comment le choisir ?**

Q6. Un audit des comptes peut être réalisé par un professionnel qualifié qui dispose des compétences techniques, des connaissances du secteur d’activité et des normes comptables applicables, ainsi que du sens critique et du respect des règles éthiques nécessaires pour mener à bien sa mission. Selon le type d’audit (légal ou contractuel), il peut s’agir :

– D’un commissaire aux comptes : il s’agit d’un expert-comptable inscrit sur la liste officielle des commissaires aux comptes tenue par la Cour d’appel. Il est nommé par l’assemblée générale des actionnaires ou par le tribunal de commerce pour une durée de six ans renouvelable. Il doit respecter les normes d’audit professionnelles et les règles d’indépendance et d’impartialité.
– D’un expert-comptable ou d’un cabinet d’audit : il s’agit d’un professionnel diplômé en comptabilité et en audit qui exerce à titre libéral ou au sein d’une société. Il est choisi par le mandant selon ses besoins et ses critères (réputation, expérience, tarif, etc.). Il doit respecter les normes d’audit professionnelles et les règles de confidentialité et de déontologie.

Le choix d’un auditeur doit se faire en fonction de la nature, de la taille et de la complexité de l’entité à auditer, ainsi que des objectifs et des attentes du mandant. Il est recommandé de comparer

 

 

**Quelle est la méthodologie et les étapes d’un audit des comptes ?**

Q7. La méthodologie et les étapes d’un audit des comptes sont définies par les normes d’audit professionnelles et adaptées à chaque cas particulier. Elles comprennent généralement les phases suivantes :

– La planification de l’audit : elle consiste à définir les objectifs, le périmètre, le calendrier et les ressources de l’audit, ainsi qu’à identifier les risques significatifs liés à l’entité et à son environnement.
– L’exécution des contrôles : elle consiste à effectuer des tests sur les comptes et les pièces justificatives, en utilisant des techniques appropriées (observation, entretien, sondage, analyse, etc.) et en respectant le principe de l’évidence.
– La synthèse des travaux : elle consiste à rassembler et à analyser les résultats des contrôles, en évaluant leur impact sur l’opinion d’audit et en formulant des conclusions et des recommandations.
– La rédaction du rapport d’audit : elle consiste à résumer les travaux effectués, les constats réalisés et l’opinion exprimée par l’auditeur sur les comptes, en respectant les normes de présentation et de communication.
– La clôture de l’audit : elle consiste à valider le rapport d’audit avec le mandant et les destinataires, à archiver le dossier d’audit et à respecter les règles de confidentialité et de déontologie.

 

**Quels sont les points clés vérifiés lors d’un audit des comptes ?**

Q8. Les points clés vérifiés lors d’un audit des comptes sont ceux qui ont une incidence significative sur la régularité, la sincérité et la fiabilité des comptes, ainsi que sur leur image fidèle. Ils peuvent varier selon le type d’entité, le secteur d’activité, les normes comptables applicables et les risques identifiés. Ils concernent généralement :

– Les principes comptables : il s’agit de vérifier que l’entité a respecté les règles et les méthodes comptables qui lui sont applicables (plan comptable, normes nationales ou internationales, etc.) et qu’elle a appliqué le principe de prudence, de permanence et de transparence.
– Les postes du bilan : il s’agit de vérifier que l’entité a correctement évalué et présenté ses actifs (immobilisations, stocks, créances, etc.) et ses passifs (dettes, provisions, capitaux propres, etc.) en tenant compte de leur valeur réelle, de leur échéance et de leur caractère exigible ou non.
– Les postes du compte de résultat : il s’agit de vérifier que l’entité a correctement enregistré et présenté ses produits (chiffre d’affaires, subventions, produits financiers, etc.) et ses charges (achats, salaires, impôts, charges financières

– Les postes du compte de résultat : il s’agit de vérifier que l’entité a correctement enregistré et présenté ses produits (chiffre d’affaires, subventions, produits financiers, etc.) et ses charges (achats, salaires, impôts, charges financières, etc.) en tenant compte de leur réalisation effective, de leur rattachement à l’exercice et de leur imputation analytique.
– Les informations complémentaires : il s’agit de vérifier que l’entité a fourni dans l’annexe ou le rapport de gestion toutes les informations nécessaires pour compléter et expliquer les comptes, notamment sur les méthodes comptables utilisées, les événements postérieurs à la clôture, les engagements hors bilan, les opérations avec les parties liées, etc.

 

 

**Quels sont les documents et les outils utilisés lors d’un audit des comptes ?**

Q9. Les documents et les outils utilisés lors d’un audit des comptes sont ceux qui permettent à l’auditeur de réaliser et de documenter ses travaux, ainsi que de communiquer ses résultats. Ils peuvent varier selon le type d’audit (légal ou contractuel), le mandat et la méthodologie de l’auditeur. Ils comprennent généralement :

– Le contrat d’audit : il s’agit du document qui formalise les termes et les conditions de la mission d’audit, notamment les objectifs, le périmètre, le calendrier, les honoraires et les responsabilités de l’auditeur et du mandant.
– Le dossier d’audit : il s’agit du document qui rassemble tous les éléments relatifs à l’audit, notamment la planification, les programmes de travail, les feuilles de contrôle, les pièces justificatives, les synthèses et les conclusions. Il doit être conservé par l’auditeur pendant une durée déterminée selon la réglementation applicable.
– Le rapport d’audit : il s’agit du document qui résume les travaux effectués, les constats réalisés et l’opinion exprimée par l’auditeur sur les comptes. Il doit être rédigé selon un format et un contenu définis par les normes d’audit professionnelles et adaptés aux destinataires.
– Les outils informatiques : il s’agit des logiciels ou des applications qui facilitent le travail de l’auditeur, notamment pour la collecte, le traitement et l’analyse des données comptables ou financières. Ils peuvent être spécifiques à l’audit ou communs à la comptabilité.

 

**Quels sont les avantages et les inconvénients de l’audit des comptes pour l’entité auditée ?**

Q10. L’audit des comptes présente des avantages et des inconvénients pour l’entité auditée, selon le type d’audit (légal ou contractuel), la qualité de l’auditeur et la réaction de l’entité. On peut résumer ces avantages et ces inconvénients dans le tableau suivant :

| Avantages | Inconvénients |
| — | — |
| Renforcer la crédibilité des comptes auprès des parties prenantes internes ou externes | Supporter le coût de l’audit et le temps consacré aux travaux de l’auditeur |
| Bénéficier d’un regard extérieur et indépendant sur la situation financière et le résultat de l’entité | Subir les contraintes et les exigences de l’auditeur, notamment en matière de documentation et de justification |
| Identifier les risques financiers ou opérationnels liés à l’activité ou à l’environnement de l’entité | Accepter les critiques et les recommandations de l’auditeur, qui peuvent remettre en cause les choix ou les pratiques de l’entité |
| Profiter des conseils et des suggestions d’amélioration ou d’optimisation de l’auditeur | Respecter les règles de communication et de diffusion du rapport d’audit, qui peuvent avoir un impact sur la réputation ou la performance de l’entité |

 

  1. Qu’est ce que la révision des comptes ?

Elle consiste à vérifier les soldes comptables avant d’éditer le bilan. Ce contrôle doit être fait au moins une fois par an au moment de la clôture de l’exercice. Cependant, la plupart des comptes seront vérifiés en cours d’année pour alléger la révision de fin d’exercice

 
Annuelle, la révision des comptes a pour but de contrôler et d’apurer le solde des comptes du bilan avant la clôture d’un exercice comptable. En pratique, il s’agit de pointer un certain nombre de données (écritures en attente d’affectation, TVA, comptes fournisseurs…) afin de s’assurer de la régularité des compte
 
Lorsque l’établissement des comptes annuels est délégué à un Expert-Comptable (c’est-à-dire qu’il exerce une mission de présentation des comptes annuels), il est tout à fait envisageable de décomposer la mission de révision des comptes et d’attribuer des tâches différentes à chaque intervenant.
 
 
 
 
Elle consiste à comparer les données résultant des comptes clôturés à la fin d’un exercice avec : des données antérieures, les données des entreprises concurrentes, des données postérieures en vue d’effectuer un prévisionnel.
 
 
 
La clôture des comptes correspond à l’achèvement des enregistrements comptables. Cette procédure a pour but de figer vos comptes et de passer à l’année suivante
 
 
 
Contrôler un compte, c’est d’abord en justifier le solde :
  1. décomposer le solde en éléments dûment identifiés (par exemple pour un compte client : identifier les trois dernières factures envoyées au client et non réglées donc non lettrées) ;
  2. vérifier la totalisation des composantes du solde ;
 
 
  • Contrôler régulièrement la conformité des enregistrements comptables. …
  • Lettrer les comptes tiers pour repérer les opérations soldées et les éventuelles erreurs. …
  • Réaliser un rapprochement bancaire. …
  • Réaliser une procédure de circularisation de tiers.
 
 
 
Le risque d’audit comprend deux composantes : le risque d’anomalies significatives dans les comptes et le risque de non-détection de ces anomalies par le commissaire aux comptes.
 
 
 
Seuil de signification : montant au-delà duquel les décisions économiques ou le jugement fondé sur les comptes sont susceptibles d’être influencés.
 
 
 
 
Pour clôturer les comptes, vous devez terminer l’enregistrement de toutes les écritures comptables de l’entreprise pendant la période concernée. Il est également nécessaire de réunir toutes les pièces justificatives et les opérations qui permettent d’établir le bilan comptable.
 
 
 
Pour effectuer une clôture mensuelle, il faut vous assurer que : Toutes les écritures d’un journal et d’un mois sont en statut validé. Toutes les écritures du même journal et de tous les mois précédents sont en statut validé. Tous les mois du même journal sont déjà clôturés mensuellement sur l’exercice précédent
 
 
12. Comment faire l’analyse des comptes fournisseurs ?

 

 
L’analyse du compte fournisseur consiste à rapprocher les montants au crédit (constatation de la dette) aux montants débiteurs (règlements). Cette opération nous permettra de comprendre la composition des soldes fournisseurs.
 
 
 
Il suffit parfois de consulter le compte 471, de sélectionner l’écriture à réaffecter. Un simple clic droit permet ensuite de choisir le nouveau compte. L’écriture d’origine est ainsi transformée sans autre intervention.
 
 
 
le risque inhérent : c’est le risque théorique lié à l’activité. On peut aussi le définir comme le risque initial, avant toute mesure de maîtrise (contrôle interne) ; – le risque résiduel : c’est le risque subsistant après la mise en œuvre de dispositifs de maîtrise (contrôle interne)
 
 
15. C’est quoi une anomalie significative ?

 

 
Anomalie significative : information comptable ou financière inexacte, insuffisante ou omise, en raison d’erreurs ou de fraude d’une importance telle que, seule ou cumulée avec d’autres, elle peut influencer le jugement de l’utilisateur d’une information financière ou comptable
 
 
16. Comment corriger les erreurs en comptabilité ?

 

 
Rectification des erreurs du journal. Sur un plan théorique, il existe quatre procédés de correction des erreurs comptables commises dans les écritures passées au journal : la contre-passation, le complément à zéro, la correction en négatif et le virement.
 
 
17. Pourquoi réviser ses comptes ?

 

En comptabilité et notamment dans les entreprises ou les cabinets d’expertise-comptable, la révision annuelle est la dernière opération qui précède la clôture des comptes et sonne la fin de l’exercice. Elle fait suite au bilan et peut donner lieu à un dossier de travail, document précieux qui facilite le contrôle a posteriori. En d’autres termes, c’est le moment où l’on compare les écritures comptables avec les pièces justificatives et où les écritures non encore affectées sont imputée

 
18. Quelle méthode de révision choisir ?

 

Pointer les justificatifs, contrôler les écritures, c’est cela réviser les comptes. Que la saisie ait été effectuée manuellement ou à l’aide d’un logiciel, que les factures et pièces justificatives aient été scannées ou intégrées grâce à une solution de reconnaissance numérique, il convient de comparer l’ensemble de ces données afin de s’assurer de la fiabilité des comptes.

Il existe plusieurs manières de procéder :

  • Méthode française : par compte ou dans l’ordre de la balance

Le contrôle se fait dans ce cas compte par compte, l’un après l’autre. Passer ainsi en revue l’ensemble de ces éléments présente un inconvénient majeur. En effet, le temps accordé est le même pour chacun alors que certains postes ou opérations nécessitent une plus grande attention.

  • Méthode anglo-saxonne : par cycles

Le contrôle se fait en fonction de ce qui relie les comptes entre eux. Les informations se trouvent parfois sur les mêmes documents ce qui permet en outre de gagner du temps. Cette méthode retient donc le principe des cycles ou groupes de comptes par exemple le cycle achats/fournisseurs (petites fournitures, entretien, matière première …), le cycle des immobilisations (dépenses courantes d’entretien et de réparations, fonds de commerce, titres, véhicules), le cycle ventes/clients ou le cycle stocks et encours.

 
 
19. Quels sont les principaux travaux de révision des comptes ?Quelle que soit la méthode employée pour organiser les travaux de révision des comptes, les objectifs sont généralement les mêmes. Il s’agit de vérifier un certain nombre d’assertions telles que l’existence, l’exhaustivité.

 

Différentes techniques sont utilisées pour la révision des comptes.

La revue analytique permet de comparer les comptes d’un exercice à l’autre pour repérer les anomalies ou variations significatives entre les exercices. Elle permet d’orienter les contrôles vers les évolutions anormales.

Dans les comptes de charges et produits, il s’agira parfois de repérer rapidement les nouveaux comptes, les comptes non utilisés à tort, ceux dont le montant est anormalement élevé (le compte 6063 contient des immobilisations) ou faible (tous les loyers ne sont pas comptabilisés).

L’observation physique permet de vérifier l’existence des stocks et immobilisations (inventaire) en nature et en quantité.

Les rapprochements et recoupements avec les pièces justificatives internes ou externes aident à contrôler la cohérence des enregistrements comptables. Ces contrôles peuvent être appliqués aux relevés bancaires et comptes de trésorerie (rapprochement bancaire).

La confirmation directe ou circularisation permet d’obtenir des tiers un extrait du grand livre. Il permet de vérifier l’exhaustivité des enregistrements dans les comptes fournisseurs.

Les entretiens avec la direction documentés dans le dossier de travail permettront d’obtenir des réponses complémentaires.

 

G. LEXIQUE

Pourquoi faire de l’audit financier ?
Comment se déroule un audit financier ?
Quels sont les objectifs d’audit financier ?
Qui peut faire de l’audit financier ?

rches associées
audit financier pdf
audit financier salaire
audit financier cours
différence entre audit comptable et audit financier
audit financier livre
audit financier et comptable
audit financier et comptable pdf
les étapes de l’audit financie

Comment faire la révision des comptes ?
Quelles sont les écritures comptables de révision ?
Comment faire la révision comptable du cycle personnel ?
Comment justifier des comptes ?

évision des comptes pdf
formation révision des comptes
révision des comptes par cycle pdf
révision des comptes définition
révision des comptes, rapport de stage
mémoire sur la révision des comptes
révision des comptes fournisseurs
révision des comptes annuels